31.1.08

SocGen et SecSoc

Il y aurait beaucoup à dire sur le capitalisme de connivence français, mais la SocGen, c'est en général un bénéfice de plusieurs milliards d'€ chaque année.

La SecSoc, c'est une fraude de 5 à 10 milliards d'€ chaque année (au vu de ses déficits), et non pas une fois par accident.

La SocGen n'est pas endettée, elle produit de la richesse.

La SecSoc détruit constamment de la richesse, et son endettement dépasse les 100 milliards d'€.

Quand la SocGen dérape, c'est un scandale qui attire l'attention immédiate du monde entier. La SecSoc enfonce à chaque minute le pays dans la précarité, la misère sociale, la dépendance, l'esclavage, et personne ne s'en soucie, à part les libéraux.

La SocGen ne risque pas la faillite car elle reste relativement bien gérée. La SecSoc est en faillite depuis quasiment le début de son existence.

Quand les politicards corrompus et irresponsables osent donner leur point de vue sur ce que devrait faire une entreprise privée, c'est vraiment le cimetière qui se fout de l'hôpital...

27.1.08

La Sécurité sociale ne peut pas faire faillite...

Le législateur a certainement affranchi les gestionnaires d'une contrainte : la Sécurité sociale, officiellement, ne peut pas faire banqueroute... ce qui est la pire caractéristique du "service public" : car, si mauvaise que soit sa gestion, les malheureux usagers ne pourront même pas espérer que la déconfiture financière les en débarrassera, obligeant à reconnaître que la concurrence est nécessaire, et les concurrents meilleurs. (...)

Il n'en reste pas moins vrai que, qu'on le veuille ou non, comme elle ne fait pas de bénéfice, et n'en ferait pas si elle savait ce qu'est une comptabilité, la Sécurité sociale passe son temps à détruire davantage de richesses qu'elle n'en crée. Pour continuer à exister, il lui en faut sans arrêt de nouvelles : la bête doit être nourrie en permanence. Et sa pâture ne peut venir que de la production réelle. C'est sa manière à elle de "s'ajuster", "d'évoluer" face à ses déperditions de richesse. Et c'est aussi son talon d'Achille. Et si les vrais producteurs ne pouvaient plus cracher au bassinet, s'ils ne voulaient plus être esclaves, s'ils trouvaient, comme aujourd'hui certains financiers ou informaticiens, les moyens d'échapper à leurs persécuteurs en se cachant, ou en courant peut-être plus vite qu'eux ? Le législateur pourrait bien gesticuler, menacer, cela ne sauverait pas son prétendu "service public" chéri. La précarité, cette fameuse précarité contre laquelle il prétend nous protéger, est donc un trait essentiel de la condition syndicratique, comme les éthologues l'observent de tout prédateur.


Extrait de La Sécurité sociale et comment s'en sortir, de Georges Lane, pages 273, 274, 275.

25.1.08

Nous sommes tous des travailleurs frontaliers !

Une lecture de choix chez Emile Jappi : la Lettre ouverte d’Elodie Pontié, employée de maison, au Président de la République (lettre publiée sur une pleine page du Nouvel Economiste de cette semaine, dont le numéro est entièrement disponible en PDF ici) :
M. le Président, dans l’Europe d’aujourd’hui, nous sommes tous des travailleurs frontaliers : alors autorisez nous à nous assurer où nous voulons ! Et les SMICARDS comme moi auront tout de suite une augmentation de pouvoir d’achat de 20% !

Pensée

Parfois, il m'arrive de regarder un homme politique pérorer dans le poste, et de me dire : "peut-être que ce n'est pas un bandit, peut-être même est-il sincère et pense-t-il ce qu'il dit".

Si je puis succomber à cette faiblesse un instant, le propos même du politicien me ramène vite à la réalité : il s'agit soit de stupidités sans nom qui ne servent qu'à le faire valoir, soit de nouveaux moyens de voler la population sous d'excellents prétextes - un vol qui d'ailleurs ne profite pas nécessairement au politicien, et qui, absurdement, aboutit seulement à détruire de la richesse, mais qui donne à son auteur l'impression de s'être rendu utile à quelque chose. Ainsi un inutile de base devient-il un nuisible patenté.

24.1.08

Carla Bruni nue chez les dentistes du Poitou...

Une vidéo qui a du mordant... C'est ici que ça se passe... (texte disponible ici).

Procédé malhonnête que d'attirer du trafic en parlant d'une célébrité ? Bof, pas plus que de se faire élire avec des promesses qui ne seront jamais tenues...

23.1.08

Fin du monopole de la Sécurité sociale : nouvelle question écrite à l'Assemblée

Cette question peut être consultée sur le site de l'Assemblée nationale (entrer le n° de question : 6579). C'est Jean-Marc Roubaud qui la pose, dans la suite de celle qu'il avait posée en 2004 et de celle de Jérôme Rivière en 2007 (sans réponse du gouvernement).

J'en retranscris le texte, en soulignant ce qui me paraît important :
M. Jean-Marc Roubaud appelle l'attention de Mme la ministre de l'économie, des finances et de l'emploi sur les difficultés liées à l'applicabilité des directives européennes sur l'assurance aux régimes obligatoires de sécurité sociale. Plus précisément, les articles R. 321-1 et R. 321-14 du code des assurances, R. 931-2-1 et R. 931-2-5 du code de la sécurité sociale et R. 211-2 et R. 211-3 du code de la Mutualité autorisent les sociétés d'assurance, les institutions de prévoyance et les mutuelles à pratiquer les opérations d'assurance branche entière à condition de bénéficier d'un agrément administratif à cet effet. Il est donc établi que toute personne résidant en France a le droit de s'assurer pour l'ensemble des risques sociaux ainsi qu'en libre prestation des services auprès de sociétés d'assurance européennes bénéficiant d'un agrément dans leur pays d'établissement. Par son arrêt du 26 septembre 2005, le Conseil d'État a apporté une preuve supplémentaire de l'applicabilité des directives européennes sur l'assurance aux régimes obligatoires de sécurité sociale. Le Conseil d'État a en effet ordonné aux pouvoirs publics de cesser de subventionner la Mutualité fonction publique au motif que « les dispositions contestées ont pour effet de créer une différence de traitement entre des personnes et des organismes placés dans la même situation ». Le monopole dont disposait la Mutualité fonction publique a été abrogé par les directives communautaires 92/49/CEE et 92/96/CEE, complètement transposées dans le droit français par les lois n° 94-5 du 4 janvier 1994, n° 94-678 du 8 août 1994 et par l'ordonnance n° 2001-350 du 19 avril 2001 ratifiée par la loi n° 2001-624 du 17 juillet 2001. L'arrêt du 26 septembre 2005 du Conseil d'État vise les deux directives ci-dessus citées, ainsi que le nouveau code de la mutualité découlant de leur transposition, et confirme donc que les mutuelles sont en concurrence pour « la couverture des risques sociaux » avec les autres mutuelles, les institutions de prévoyance et les sociétés d'assurance françaises et européennes. Tous les citoyens français, qu'ils soient ou non fonctionnaires, bénéficient des mêmes dispositions et de la même liberté de choix. Dans ces conditions, on ne peut que s'étonner qu'un organisme officiel français intervienne auprès des autorités britanniques en se référant à des textes rendus caducs et de nul effet par l'introduction dans le droit national français de textes légaux résultant de la transposition de dispositions européennes et bénéficiant de ce fait de la primauté du droit communautaire. La Commission de contrôle des assurances, des mutuelles et des institutions de prévoyance, bien qu'elle soit une autorité publique indépendante créée précisément par la loi n° 2003-706 du 1er août 2003 pour veiller à la mise en oeuvre des dispositions légales découlant de la transposition des directives 92/49/CEE et 92/96/CEE, ne fait qu'appliquer les décisions politiques du gouvernement français. Ce dernier n'a transposé les directives 92/49/CEE et 92/96/CEE qu'au terme de sept années de procédures initiées, sur plainte de citoyens et d'organisations françaises, par la Commission européenne et qui se sont traduites par la condamnation, le 16 décembre 1999, de la République française par la Cour de justice des Communautés européennes pour n'avoir pas appliqué ni transposé complètement lesdites directives. Depuis, la France a transposé complètement ces directives, mais elle continue de ne pas vouloir les appliquer au mépris des lois nationales et de ses engagements communautaires. Ce faisant, la France contrevient aux règles qui fondent l'Union européenne et y manque d'autant plus qu'elle contraint des organismes officiels français à saisir sans aucun fondement les autorités d'autres pays membres, ce qui ne peut que perturber le bon fonctionnement du marché intérieur, et notamment les dispositions relatives à la libre prestation de services. En conséquence, il lui demande de lui faire connaître sa position à ce sujet.
Jean-Marc Roubaud est le député UMP qui avait proposé de rétablir le délit de blasphème (aboli en 1791)... Aïe ! Moi qui, en bonne libertarienne, suis pour une liberté d'expression absolument totale... Heureusement que sa proposition de loi n'a pas abouti, sans quoi j'aurais dû cesser mes blasphèmes contre l'Infâme SS...

En attendant, on verra bien ce que répondra la ministre. Je vous propose d'écrire à J-M Roubaud, son e-mail est permanencejmroubaud (at) wanadoo.fr :
Monsieur le Député,

Vous avez eu l'excellente idée au mois d'octobre 2007 de poser une question écrite numéro 6579 au ministère de l'Économie, des finances et de l'emploi sur la transposition en droit français des directives européennes 92/49/CEE et 92/96/CEE. Vous demandiez au ministre de "vous faire connaître sa position à ce sujet".

A ce jour cette question n'a pas encore reçu de réponse. Le délai initial de deux mois étant écoulé, vous êtes en droit, comme vous le savez, de signaler cette question à la ministre pour exiger une réponse rapide.

Cela nous semble à nous, partisans de la liberté sociale, d'autant plus crucial que les organismes de Sécurité sociale prélèvent des montants exagérés en comparaison avec leurs concurrents, tout en offrant des prestations de plus en plus réduites, alors que s'accumulent année après année des déficits gigantesques et une dette catastrophique.

Dans cette attente, recevez toutes nos salutations.

22.1.08

Les lamentables victimes de la Sécurité sociale française

Baudelaire, presque aussi prémonitoire au XIXe siècle que Bastiat, prévoyait déjà dans les Fleurs du Mal les crimes de la Sécurité sociale française soviétique, crimes commis avec l'assentiment de leurs victimes, aveuglées par l'illusion "solidaire". Il décrivait ainsi le gouffre sans fond dans lequel le monstre froid les plonge sans retour :

Descendez, descendez, lamentables victimes ;
Plongez au plus profond du gouffre, où tous les crimes,
Flagellés par un vent qui ne vient pas du ciel,
Bouillonnent pêle-mêle avec un bruit d’orage.


Bon, Baudelaire avait je crois d'autres préoccupations que la sinistre SS...(qui n'existait pas encore, heureux temps). On lit ceci dans les infos :
Bruno-Pascal Chevalier, le premier malade du SIDA ayant suspendu son traitement pour protester contre le principe de la franchise médicale, a dénoncé lundi un système qui "culpabilise" les malades.

"On culpabilise les malades en disant: 'Parce que vous êtes malades, il va falloir que vous payiez, que vous participiez aux soins", a-t-il déclaré sur RTL. "C'est scandaleux". Lui-même a cessé son traitement "depuis septembre", a-t-il précisé.

Le principe de la franchise médicale prévoit que les 45 millions d'assurés sociaux doivent prendre en charge 50 centimes par boîte de médicaments et par acte paramédical, et deux euros par transport sanitaire. Le montant total de la franchise ne peut pas dépasser 50 euros par an. Mais les personnes souffrant d'une affection de longue durée (ALD), qui pâtissent d'importants restes à charge, doivent l'acquitter, ce que dénoncent les malades qui se sont mis en grève de soins.

Réfutant l'idée qu'il risquait sa vie "pour 50 euros", M. Chevalier a affirmé qu'en revanche, "c'est ce qui se passe involontairement pour beaucoup de patients qui ne perçoivent que des petites ressources comme l'allocation adulte handicapé, c'est-à-dire 740 euros par mois, qui tous les mois ont des frais de soins et de santé, qui ne sont plus du tout remboursés par la Sécurité sociale". Et "on leur dit: 'oh la la, vous coûtez cher'", s'est-il indigné. "Ça, c'est aller vers l'assurance privée".
Personnellement, je ne suis ni pour ni contre les franchises, qui sont un pansement sur un cadavre. En revanche je suis contre la SS communiste et criminelle, dont on voit les effets :
1) prédation des "assurés", saignés comme personne ne l'est dans aucun pays développé ;
2) corrélativement, refus de remboursement des malades, habitués à l'assistanat autant qu'à la prédation, qui poussent alors les hauts cris, s'imaginant que le butin, produit du vol, est illimité ;
3) tout cela est le résultat de l'arbitraire complet de politiciens véreux qui rafistolent à la petite semaine l'usine à précarité française (avec la SS, pas de contrat, l'avenir est toujours incertain : à quand les franchises à 1000 euros par an pour colmater les déficits ?).

Au lieu de supplier ses oppresseurs comme un mendiant qui demande l'aumône, la lamentable victime devrait s'en prendre à la racaille étatico-syndicale au pouvoir, essayer de sortir de la matrice étatique et de sa légende rose, et comprendre qu'elle en est arrivée là justement parce que les assurances privées ont été interdites, stigmatisées par les ignorants, vilipendées par les collectivistes, tant la spoliation étatique conserve encore de prestige dans l'esprit embrumé des si bien nommés "assujettis".

20.1.08

Dessin libertarien 64

La commission Attali va enfin sauver la France !

19.1.08

La commission Attali accouche d'une souris

On peut trouver sur Internet une Ebauche du rapport de la Commission Attali sur la Libération de la Croissance.

Rien de révolutionnaire : beaucoup de voeux pieux, beaucoup d'interventionnisme étatique (interventions sans aucun chiffrage) et de rares bonnes mesures (fin du numerus clausus dans plusieurs professions, statut simplifié pour les PME ayant un chiffre d'affaires inférieur à 50000€).

Sur la sinistre Sécurité sociale, on a droit à la tarte à la crème du jour : le basculement d'une partie des cotisations sur la CSG et la TVA (ils n'osent pas encore parler de "TVA sociale"). Quelle originalité ! S'ils croient pouvoir se sortir des déficits et de la dette de cette façon...

L'Ifrap sur le RMI et les minima sociaux




(extrait de l'émission de France Inter "Rue des entrepreneurs" du 12/1/2008)

18.1.08

Pire que les socialistes et les communistes : le Modem !

Un petit coup de sang que j'ai eu à la lecture de ce post de Christophe Ginisty (candidat Modem aux Municipales contre Santini) : je soutiens le combat de Bruno-Pascal Chevallier.

D'où mon commentaire (vous pouvez aussi aller lui dire ce que vous en pensez) :
Votre point de vue est assez incroyable. Je n'aurais jamais cru qu'un chef d'entreprise se mette à hurler avec les gauchistes démagogues qui ne pensent qu'à "faire payer les riches" !

Quand vous apercevrez-vous donc que la sinistre SS n'est pas du tout de la solidarité, mais un mécanisme de spoliation d'origine communiste ? Comme le dit un médecin qui l'a quittée :

"Si ce système est solidaire, alors j’aimerais bien savoir de qui ? Pas des cotisants, qui sont taxés au-delà des limites du supportable; pas des assurés, qui sont de plus en plus mal remboursés; pas des « partenaires de santé », qui sont les moins bien payés à l’acte d’Europe occidentale… Alors de qui ?"

En réalité, même un smicard aurait intérêt à la quitter pour des mutuelles ou des assurances privées, le simple calcul le montre (venez sur mon site). De plus, le monopole de la SS est aboli de par les directives européennes retranscrites en droit national (même si certains tribunaux refusent de le reconnaître). La SS ne profite absolument à personne, si ce n'est à la syndicratie qui la gère et s'en met plein les fouilles. Par pitié, ne soyez pas dupe !
C'est toujours pareil avec les politicards : ils critiquent un petit bout du système sans vouloir reconnaître que le truc est pourri dans son entier. C'est le gorbatchévisme à la française, qui durera jusqu'à la faillite finale.

Des livres sur la sinistre SS

Il y a pas mal de littérature libérale sur la spoliation sociale, très souvent des articles (ces derniers jours "que les gros salaires lèvent le doigt" sur Objectif liberté, ou les articles de J-L Caccomo sur l'économie de la santé), plus rarement des livres.

Est sorti récemment Faut-il sauver la sécurité sociale ?, du Dr Régis Giet, préfacé par Jacques Marseille, livre très critique à l'égard du système soviétique actuel. Je ne l'ai pas lu, je n'en parlerai donc pas.

Je recommande à nouveau le livre de Georges Lane, à la fois érudit et incisif, sans concession à l'égard du "monopole syndicratique", cette "organisation criminelle" qui pratique le "pillage", le "racisme social", le "vol du peuple" par une "exploitation esclavagiste". Elle détruit la richesse et n'offre d'acquis sociaux qu'aux profiteurs que sont les hommes d'appareil :
Il s'agit de savoir si l'organisation de la Sécurité sociale a apporté un autre progrès que celui d'engraisser quelques gangsters, tout en flattant l'amour-propre d'idéologues communistes. En somme, si elle a fait quoi que ce soit qui puisse passer pour avoir servi de vrais êtres humains. (page 279)

(...) un tel système n'instaure de solidarité réelle qu'entre les victimes du vol d'un côté, et ses pillards et receleurs de l'autre ; et entre voleurs et volés, il ne saurait y avoir aucune solidarité, car si le voleur a besoin du volé, le volé, lui, n'a nul besoin de son voleur. (page 300)

Le jour où le marché financier dira "je ne veux plus financer les déficits étatiques", la sécurité sociale aura vécu. (...) Cinq minutes avant que l'URSS fût abandonnée, elle fonctionnait encore comme en 1917. (page 574)

Oui, contre vents et marées, l'assurance émergera. Elle sortira du cul-de-basse-fosse où la violence utopiste l'a précipitée et dont elle l'empêche de sortir aujourd'hui. Et ce sera parce que les êtres humains normaux sauront enfin en attendre les services qu'ils auraient toujours dû en recevoir, et qu'on ne les mènera plus en bateau avec des caquetages sur les prétendues "conquêtes sociales" et autres duperies haineuses sur le thème de "faire payer les riches". (page 580)

16.1.08

Ce qui nous sépare des libéraux conservateurs

Un petit article sérieux pour faire le point sur certaines questions idéologiques...

Les libertariens partagent un certain nombre de points de vue avec les libéraux conservateurs, notamment dans le domaine économique et social.

En revanche, certains sujets posent sérieusement problème. J'en vois au moins deux, que je vais aborder de front. Les libs-cons ne doivent pas se sentir provoqués, au contraire je leur suggère d'ajouter des commentaires s'ils en ont envie.

1) Les libertariens sont anti-nationalistes. Ils ne nient pas qu'il puisse y avoir quelque chose qui s'appelle un "sentiment national", mais ils le ramènent justement à ce qu'il est : un sentiment. La "nation" ne devrait jamais être un prétexte à coercition.

Je vois le nationalisme comme la menace la plus sérieuse aujourd'hui, tant à droite qu'à gauche, et surtout quand il n'ose pas dire son nom (personne ne se reconnaît volontiers fasciste, xénophobe forcené ou "souchien" anti-étrangers).

Le nationalisme s'exprime dans le stupide "patriotisme économique", dans le protectionnisme à l'égard des salzétrangers sous-payés qui détruisent nos emplois et nous vendent leur camelote moins cher que nos bons produits bien de chez nous (que personne n'achète), dans la laïcité intolérante, dans le combat contre l'immigration clandestine ou une prétendue "invasion étrangère", etc.

Dans le pire des cas, on aboutit à la guerre (tu es pour la guerre en Irak ? Va en Irak te battre si tu veux, mais n'oblige pas les autres à y aller ou à payer pour ceux qui y vont).

Personne n'est propriétaire de "son" pays, il n'en est propriétaire que d'une portion infime. N'importe qui, étranger ou autochtone, devrait pouvoir faire ce qu'il veut tant qu'il respecte la liberté et la propriété d'autrui.

Les jacobins anticommunautaristes, nombreux en France à droite et à gauche, ne sont pas des libéraux ! Ils sont prêts à vous réduire en esclavage au nom de leur idée de la "république", de la "cohésion sociale", de la laïcité et autres concepts fumeux.

Se sentir Français(e), d'accord ; vouloir préserver je ne sais quelle "identité française", ça risque bien d'être le présage d'une agression nationaliste contre les libertés. Il n'y a pas d'identité nationale, il y a que des Français qui peuvent avoir des choses en commun, et je ne vois pas en quoi un étranger peut menacer ce sentiment commun, qui n'est qu'une abstraction.

2) Les libertariens sont contre le paternalisme d'Etat qui s'exprime dans le principe de précaution, dans la bien-pensance médiatique ou politique, ou dans les combats stupides contre la drogue, la pornographie, la prostitution, la tabagie, l'obésité, la diffamation, etc. Personne n'a le droit d'imposer un point de vue moral à ceux qui ne le partagent pas. La limite, la seule, est la propriété de soi-même (formule libertarienne pompeuse pour dire "liberté et propriété").

Chacun a le droit de faire des choix de vie différents de son voisin, et d'en payer le prix le cas échéant. Prétendre savoir mieux qu'autrui ce qui est bon pour autrui est d'une arrogance insensée, typiquement politicienne, qui commence avec la dictature molle pour culminer dans le totalitarisme dur.

3) L'Etat-providence, produit final de l'antilibéralisme, est par nature nationaliste et paternaliste.

Nationaliste, parce que pour lui l'étranger est un ennemi qui vient manger dans notre petite gamelle redistributive, ou pire, vole des parts de marché à "nos" bonnes entreprises qui font travailler "nos" bons citoyens nationaux.

Paternaliste, car il tend à imposer un point de vue moral unique : puisque tout le monde paye pour tout le monde, les déviants (fumeurs, drogués, clandestins, exilés fiscaux, hors-Sécu...) ne peuvent être tolérés. Les choix de vie ne peuvent plus être une affaire personnelle, puisque la Sécurité sociale veut nous prendre en charge du berceau à la tombe. Il n'y a plus de responsabilité personnelle, mais une vague responsabilité collective, gérée arbitrairement par les fonctionnaires.

Ainsi, l'Etat-providence actuel s'oppose systématiquement à la liberté personnelle, incompatible avec le collectivisme qu'il met en oeuvre. Tant qu'il ne sera pas détruit, la démocratie totalitaire actuelle perdurera, pour le malheur de tous, sauf de ses parasites et des démagogues au pouvoir.

15.1.08

Qui c'est le plus beau ? C'est Nico !

Savez-vous qui est cette semaine en couverture du Point, de l'Express, du Nouvel Obs et de Marianne ? Si vous ne le devinez pas, c'est que vous souffrez de déficience visuelle, d'apolitisme aigu (quelle chance, bravo !) ou que vous vivez sur une autre planète. Comment pouvez-vous ne pas connaître un nain connu qui vit de vos impôts ?

A force de voir partout la bobine de la "petite saucisse entourée de fayots" (© Anne Roumanoff), les Français vont avoir une indigestion. Si ça pouvait les aider à voir la vraie nature de la politique : une prédation éhontée, l'art d'emmerder les gens sous n"importe quel prétexte, le parasitisme politicard qui vous offre de grands idéaux pleins de vide en échange de votre sueur et de votre sang !

14.1.08

On nous écrit d'URSS (af)...

C'est dans les Echos de ce jour : Pourquoi donc les employeurs payent-ils leurs cotisations sociales ? On y apprend que la répression ne suffit pas, il faut aussi, comme en URSS, arriver à un contrôle de la pensée de la victime :
L'augmentation régulière du taux de contrôle des entreprises prend en compte non seulement le rendement individuel d'un contrôle mais aussi son impact psychologique sur le secteur d'activité par un renforcement de la présence des inspecteurs du recouvrement.

Cependant, il serait abusif d'en tirer la conclusion qu'il suffit d'un système répressif efficace pour garantir le paiement, car les ressorts civiques et culturels sont essentiels à l'adhésion à notre système de protection sociale. Or les rumeurs sur la suppression du monopole de la Sécurité sociale continuent à se propager malgré les démentis officiels. Ces fausses informations remettent en cause, de façon insidieuse, la légitimité de notre système et donc la nécessité pour un employeur de verser ses cotisations.

13.1.08

Rions avec Jacques Attali

J'avais pensé un moment intituler ce post "les mensonges et les divagations de Jacques Attali", mais je crois qu'il vaut mieux en rire.

Je viens de parcourir sa "Brève histoire de l'avenir" (paru en 2006 chez Fayard), un livre boursouflé et simpliste, caricatural, bourré de contradictions et parfois d'erreurs, qui révèle non pas l'avenir, mais les fantasmes d'un homme de gauche qui ne s'est pas complètement remis de la chute du communisme.

Ce livre "hyperbolique" est une sorte d'Apocalypse aux accents bibliques (forcément bibliques) écrite par un énarque, ce qui n'est pas le moins drôle de l'affaire. Il voit la solitude de chacun s'accroître, l'emploi devenir de plus en plus "stressant, flexible et précaire", le marché tout envahir. Le premier cavalier de l'Apocalypse est l'hyperempire, le marché triomphant, une sorte d'anarcho-capitalisme où tout est privatisé, où les individus sont des "hypernomades" hypersurveillés et autosurveillés. L'hyperempire est ensuite "broyé par les pirates" qui profitent de l'affaiblissement des Etats : c'est l'hyperconflit. Mais rassurez-vous, ça se termine bien avec l'avènement de l'hyperdémocratie, un gouvernement démocratique planétaire, en fait la social-démocratie qu'Attali aime tant, mais étendue au monde entier, avec armée unique, monnaie unique, pensée unique, seule force capable de tenir tête à la "dictature" de la liberté individuelle qui a conduit à la catastrophe...

Notre bon cryptomarxiste ne manque évidemment pas l'occasion de critiquer en bloc les marchés, car selon lui :
les faits établiront clairement qu'ils ne suppriment ni la pauvreté, ni le chômage ni l'exploitation ; qu'ils concentrent tous les pouvoirs en quelques mains, précarisant des majorités de plus en plus nombreuses ; qu'ils détournent des exigences du long terme ; qu'ils concourent à dérégler le climat ; qu'ils créent des raretés et inventent de nouvelles gratuités pour en tirer profit ensuite ; que l'espérance et la qualité de la vie ne sont pas du tout les mêmes d'un endroit à l'autre du monde ; qu'ils deviendront, avec l'hypersurveillance et l'autosurveillance, un des formes les plus pernicieuses et les plus absolues de la dictature.
Dans le chapitre final, consacré à la France, le "progressiste" Attali devient un ultraconservateur collectiviste qui chante la gloire de sa patrie :
Elle a le meilleur système de sécurité sociale au monde et l'un des droits du travail les plus protecteurs ; pas un citoyen ou un étranger n'y est exclu de l'école ou de l'hôpital.
Certes il reconnaît que la France est en déclin, endettée, en déficit, qu'elle sera en crise si rien n'est fait. Mais notre Pic (Piqueur ?) de la Mirandole a des solutions : réduire les dépenses de l'Etat de 10% par an et augmenter les impôts de 5% par an ! Deux pages plus loin, il veut "réduire la fiscalité du capital et de l'épargne, inciter à faire fortune par son travail". Expliquez-moi si vous y comprenez quelque chose.

Ce livre abracadabrantesque révèle moins un avenir possible que le désarroi d'une gauche étatiste et redistributrice, confrontée à la mondialisation, qui refuse d'admettre que la liberté soit un bien en soi, le marché un simple lieu d'échange, et ne voit pas que l'Etat n'est pas la solution, mais bien le problème.

10.1.08

Mettons les fumeurs dans des camps !

Comme dirait François Guillaumat, il y a les socialistes cupides, et les socialistes méchants.

En matière de tabagie (c'est une non-fumeuse absolue qui parle), il y a aussi les cupides, contents d'imposer leur point de vue par la "force injuste de la loi", en violation de la propriété privée, et il y a les méchants, heureux d'embêter les autres, les déviants, les moutons noirs. Lisez un peu cet article de la bonne gogoche de chez nous : La France contre le tabagisme passif : «Une formidable avancée !», avec l'interview d'une tabacologue intolérante :
Il y a vingt ans, la cigarette était un accessoire normal dans les soirées, fumer était branché. Désormais, c'est devenu un acte illicite. En vidant les fumeurs des bars et restaurants, ils sont marginalisés sur les trottoirs, et cela révèle leur dépendance toxicomaniaque à la nicotine. Il n'y a qu'à voir ces troupeaux de fumeurs pendus à leur cigarette dans le froid ! Dommage qu'il ait fallu attendre si longtemps avant d'appliquer cette mesure.
Kapos franchouillards et chiens de garde staliniens, unissez-vous pour exterminer cette engeance maudite qui vient jusque dans nos bras cloper et nous enfumer dans les lieux "publics" où ce n'est pas encore interdit !

Jean-François Revel pensait qu'être de gauche, c'était lutter pour la vérité et la liberté. En France, gauche et droite sont depuis longtemps unies pour supprimer le peu de libertés qu'il nous restait.

Voler seulement les gens, c'est lassant à la longue ; leur imposer un comportement, comme à de bons chiens-chiens, c'est tellement plus marrant !

9.1.08

Le RMI : un exemple de l'imbécillité étatique couplée à la dictature soviétoïde molle

Les hommes de la Mafia l'Etat voudraient, contre tout principe de réalité, que tout le monde soit comme eux, des parasites payés à ne rien faire. Aussi ils n'ont de cesse d'augmenter toujours plus la classe des parasites - personne n'étant naturellement porté à avoir des relations avec des voleurs, il faut que le voleur paye pour attirer des clients (qui sont aussi des électeurs). J'emploie ici "client" dans son sens originel, celui qui chez les Romains se mettait sous la protection d’un homme plus aisé, le patronus (fin de la minute culturelle).

Rappel pour les altercomprenants : un parasite est quelqu'un qui vit aux dépens de quelqu'un d'autre sans son consentement. Exemple : un politicien (payeriez-vous l'impôt s'il était facultatif ?) ; un apparatchik de la Sécurité sociale (payeriez-vous vos cotisations "sociales" si elles étaient facultatives et si vous saviez ce que devient cet argent ?) ; un assisté, qui attend comme un dû sa part du butin redistribué par l'Etat, etc.

Notez qu'un mendiant n'est pas un parasite (revoyez la définition), pas plus qu'une prostituée, ou un capitaliste (sauf quand il est acoquiné avec les hommes de la Mafia l'Etat, ce qui est fréquent en France).

Le RMI est un excellent exemple de la façon dont l'Etat provoque catastrophe sur catastrophe dans une spirale sans fin (la seule fin possible étant la faillite).

Première étape : la pression fiscale toujours accrue appauvrit tout le monde. Ceux qui en souffrent le plus sont de plus en plus nombreux : ce sont les "nouveaux pauvres".

Deuxième étape : alerté de ce problème, l'Etat ne diminue pas la pression fiscale, cela impacterait son train de vie, il lui faudrait enlever des fromages à tous ses stipendiés (fonctionnaires, syndicats, journaux, associations bidons, entreprises, etc). Pour les plus pauvres, il est alors contraint de prévoir des mesures telles que le revenu minimum - qui a pour effet d'accroître encore la pression fiscale sur le reste de la population.

Troisième étape : l'effet d'aubaine joue à plein, le RMI attire de plus en plus de personnes (plus d'un million aujourd'hui). Il aide effectivement certaines personnes, bien rares, à s'en sortir, tandis que les autres se complaisent dans l'assistanat (la fameuse "trappe à pauvreté"). On voit aussi un grand nombre de personnes aisées qui touchent le RMI, car il est facile de s'organiser pour n'afficher aucun revenu. On se souvient du fameux Thierry F., ou certains de ces retraités anglais en villégiature dans le Sud.

Quatrième étape : l'Etat décide de "lutter contre les abus" qu'il a lui-même encouragés. Il ne voit pas d'autre solution à présent que d'évaluer le train de vie réel du RMIste, en croisant les fichiers sociaux, en fouinant dans la vie des gens (les dénonciateurs sont bienvenus) : un décret conditionnant le bénéfice du RMI au train de vie bientôt en vigueur.

Moins de liberté (la bigbrotherisation va de pair avec l'Etat-providence), davantage de fonctionnaires, chargés de ces tâches improductives, un seul résultat : la continuation de la catastrophe.

8.1.08

Les mérites de l'antilibéralisme sarkozyste

Après la conférence de presse du chef des fonctionnaires, les mérites de l'antilibéralisme sarkozyste se confirment.

Le bateleur en chef montre aux Français la réalité de la politique, et on peut espérer que ça ouvrira les yeux aux plus aveugles. Car qu'est-ce qu'un politicien, si ce n'est quelqu'un qui n'est bon à rien dans la société civile et qui a dû se résoudre à vivre d'argent volé ?

Quand on ajoute à ça le mauvais goût, la décontraction dans les fastes, la vacuité du discours écrit par d'autres, l'immobilisme gesticulatoire, la connivence avec les journalistes aux ordres et bien sûr la perspective de nouvelles réglementations et de nouvelles taxes, on obtient un spoliateur institutionnel plus vrai que sa caricature.

7.1.08

L'esclavagisme de la Sécurité sociale et ses nouvelles victimes en 2008

Article inspiré par ceci : Un malade du sida en grève des soins.

L'étatisme franchouillard a encore frappé : les franchises médicales s'appliquent en 2008, avec un plafond global de 50 euros par an et par personne. De nouveaux déremboursements, aussi arbitraires que les cotisations que les vampires vous prennent.

Que peuvent faire les victimes, sinon aller pleurer auprès de l'Etat tout puissant qui leur suce la moëlle à chaque instant ? Pitié, monsieur le Bourreau, laissez-moi mes 50 euros ! C'est toujours ça qui n'ira pas engraisser les syndicats "gestionnaires" et les parasites du système !

Les victimes sont tellement sous l'influence du syndrome de Stockholm qu'elles ne se rendent pas compte à quel degré d'esclavage elles en sont arrivées. Ne cherchez même pas à leur parler d'assurance privée en remplacement de la spoliation de la sinistre SS. Ne leur dites pas qu'avec la Sécu, il n'y a pas de contrat, donc aucune certitude (à quand les franchises à 500 euros ?), aucun recours, sauf devant des tribunaux administratifs qui sont juge et partie. Avec la Sécu, il n'y a pas de prime d'assurance, mais une spoliation proportionnelle à votre revenu (ça s'appelle la "solidarité", soyez contents qu'on vous laisse quand même une partie de votre salaire).

Il faudra un jour dresser la liste des crimes de la Sécurité sociale, qui interdit aux gens de s'assurer normalement, les saigne du fruit de leur travail et les abandonne en rase campagne quand ils n'ont pas d'autre recours.

Rien à voir avec ce qui précède, mais on est déjà une dizaine dans le journal libertarien...

6.1.08

5.1.08

Libertariens sur Cozop, mode d'emploi

Voici le mode d'emploi pour que votre blog figure dans le journal libertarien de Cozop.

D'abord, s'enregistrer en indiquant son e-mail, choisissant un mot de passe, acceptant les conditions générales, puis ENREGISTRER.

Votre compte est créé, vous devez attendre l'e-mail de confirmation intitulé "Pour activer votre compte coZop", à ce moment-là vous pouvez confirmer votre inscription.

Vous pouvez alors vous connecter à Cozop avec e-mail et mot de passe.

Cliquez sur "Auteur", ajoutez l'adresse de votre site (URL complète), éventuellement une description et une photo si vous avez... Puis Enregistrer. Puis cliquer sur "rejoindre un journal et y publier vos articles". Cliquez sur le "rejoindre" qui est en-dessous de "Libertariens", mettez un message (facultatif) pour l'auteur du journal (moi), par exemple "coucou, je peux entrer ?".

Si ça ne marche pas (le site est encore très rudimentaire et incomplet), envoyez-moi un e-mail et je rattacherai votre blog au journal Libertariens.

L'hôpital public : première institution soviétique de France

En France, l'hôpital public peut bloquer votre compte en banque sans aucune raison valable et pour une durée indéterminée. Voir ce reportage de TF1 (merci à Josick pour l'info).

4.1.08

La Sécurité sociale française vole plus haut que tout

Après l'étude de Georges Lane combien nous coûte, à vous et à moi, la Sécurité sociale ?, il faut signaler celle de Claude Reichman comment la Sécurité sociale ruine les classes moyennes (et les pauvres aussi, par parenthèse).

Rappelons, à destination des altercomprenants nombreux en Soviétie française, la définition du vol : prendre quelque chose à quelqu'un sans son consentement. La SS, c'est du vol, puisqu'on est obligé de cotiser (avec le corollaire lié au monopole qui est qu'on nous prend beaucoup plus que ce que demanderait une assurance privée équivalente, voir les études mentionnées).

3.1.08

Cozop pour libertariens

J'ai eu l'étrange idée de créer sur le site Cozop (Thierry Crouzet et associés) un journal libertarien agrégeant plusieurs sites sources. Si vous avez un blog libertarien, c'est le moment de l'ajouter ! Sauf si vous avez la phobie des agrégateurs. Il faut d'abord créer un compte, puis signaler votre blog dans l'onglet "Auteurs".

2.1.08